
« La biologie moléculaire a ouvert ces dernières décennies des perspectives vertigineuses : il est désormais possible de modifier le patrimoine génétique d’un embryon. En le corrigeant pour son bien, expliquent certains chercheurs ; au risque d’alimenter un marché de l’humain sur mesure, rétorquent d’autres. Comment informer la population et fixer des limites à ces pratiques ? »
C’est à ces questions que Jacques Testart tente d’apporter une réponse dans un article du Monde diplomatique du mois d’octobre 2022.
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