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Paru dans Libération le 28 janvier 2012 : Catherine Bourgain et Jean-Claude Vitran, administrateurs de la FSC, prennent position sur le fichage

Par et
mardi 31 janvier 2012
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Logo Libération«L’ADN va révéler de plus en plus d’informations»
Une interview de Catherine Bourgain par la journaliste Ondine Millot (Libération)
http://www.liberation.fr/societe/01012386384-l-adn-va-reveler-de-plus-en-plus-d-informations 

Catherine Bourgain, généticienne à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), secrétaire de la fondation Sciences citoyennes, dénonce les dangers du Fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg).

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Nos réseaux

Par
mercredi 19 mai 2010
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La Fondation Sciences Citoyennes appartient à plusieurs réseaux ou collectifs parmi lesquels :

Logo CRIDCentre de Recherche et d’Informations pour le Développement
Fondé en 1976 par 8 associations, le Centre de recherche et d’information pour le développement avait pour objectif de produire une réflexion sur le développement et la coopération internationale. Il rassemble aujourd’hui 54 associations de solidarité internationale (ASI) françaises.

 

Logo INESInternational Network of Engineers and Scientists for Global Responsibility
The International Network of Engineers and Scientists for Global Responsibility (INES) is an independent non-profit organisation committed to influencing the role and the impact that science and technology have on society.

 

Logo Living KnowledgeLiving Knowledge – Improving Science Shop NETworking
The general objective of the thematic network ‘Improving Science Shop Networking’ (ISSNET) is to give citizens around Europe better access to scientific information and expertise. The demand-driven approach of science shops contributes to this objective and offers citizens a tool to contribute in the science and society debate.

 

Logo ENSSEREuropean Network of Scientists for Social and Environmental Responsibility
ENSSER forms a joint pool of critical and independent expertise to work in two fields: to assess the ecological, health, and socioeconomic effects of the application of existing and future science and technologies; and to assess alternative options to main-stream science and technologies with the aim to strengthen citizens‘ interests over vested and corporate interests.

 

Logo Forum Mondial Sciences et Démocratie (FMSD)Forum Mondial Sciences et Démocratie
Le FMSD a pour objectif la mise en place d’une plateforme de dialogues politiques permanente entre les acteurs du mouvement social au sens large, les scientifiques et leurs institutions. La FSC fait partie du Conseil international et du Secrétariat international de cette initiative.

 

Logo RESRéseau Environnement Santé
La Fondation Sciences Citoyennes est membre-fondateur du RES. Ce réseau se fixe pour objectif de faire du lien environnement-santé un enjeu primordial dans les prises de décisions politiques qu’elles soient sanitaires ou environnementales.

 

Logo ALTER-EUAlliance pour une réglementation de transparence et d’éthique en matière de lobbying (ALTER-EU)
Coalition européenne de 200 groupes de la société civile, syndicats, universitaires préoccupés par l’influence croissante exercée par les lobbyistes du monde des affaires sur les décisions politiques dans l’Union Européenne, et par le déficit démocratique dans les prises de décision qui en résultent au niveau de l’Union européenne.

 

Logo AVICENNAssociation de Veille et d’Information Civique sur les Enjeux des Nanosciences et des Nanotechnologies (AVICENN)
L’AVICENN exerce une veille citoyenne et propose une information transversale et indépendante sur les enjeux sociétaux soulevés par les nanotechnologies, via les lettres VeilleNanos et sur les sites http://veillenanos.fr et http://wikinanos.fr.

 

asso citoyennesCollectif des Associations Citoyennes
Le collectif des associations citoyennes est né en 2010 pour lutter contre l’instrumentalisation et la réduction des associations à leur seule dimension commerciale et défendre la contribution des associations à l’intérêt général et à la construction d’une société solidaire, durable et participative. Après avoir déposé un recours en Conseil d’État en 2010 contre la circulaire Fillon, qui assimilait l’ensemble des associations à des entreprises, le collectif a développé une analyse globale des difficultés associatives un travail en réseau et a élaboré des propositions pour une nouvelle politique associative. Il touche aujourd’hui 8000 responsables associatifs et regroupe 300 associations, dont 35 réseaux nationaux.

 


Maison des Lanceurs d’Alerte

La Maison des Lanceurs d’Alerte, créée fin 2018 sous l’impulsion de Sciences Citoyennes et Transparency France, réunit 17 associations et syndicats dans son Collège des fondateurs. Elle s’est donné comme objectif de remplir une triple mission : l’accompagnement (technique, juridique, médiatique, financier, social et psychologique) des lanceurs d’alerte et de leurs alertes, le plaidoyer afin d’améliorer la réglementation concernant l’alerte et la formation des acteurs concernés.

 

Whistleblowing International Network
WIN (réseau international du lancement d’alerte) est un réseau d’ONGS qui s’est structuré officiellement en 2019 après plusieurs années d’activité. Il réunit des organisations qui accompagnent les lanceurs d’alerte ou qui portent un plaidoyer pour améliorer la législation afin de mieux protéger les lanceurs d’alerte et les alertes. Son objectif est de mutualiser les pratiques et informations et de coordonner le plaidoyer au niveau international et notamment européen.

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La Marche du siècle – marchons pour le climat les 15 et 16 mars

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mercredi 6 mars 2019
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Sciences Citoyennes a signé une tribune aux côtés de 140 organisations appelant à La Marche du siècle pour le climat. Nous appelons à rejoindre les étudiants et élèves de France et du monde qui feront grève pour le climat le vendredi 15 mars, et à marcher le samedi 16 mars pour demander des changements radicaux pour répondre à l’urgence climatique. 

Si vous souhaitez marcher avec nous le vendredi 15 mars, nous vous proposons de se rejoindre à 13:00 au 38 rue Saint Sabin, 75011 Paris, et de nous envoyer un mail à contact@sciencescitoyennes.org pour nous faire savoir votre venue au point de rendez-vous. 

La Marche du siècle

Notre contestation a éclos à l’automne. En hiver, sa croissance a été historique. Au printemps, elle change d’échelle. Il n’y a plus de saisons.

Nous sommes aujourd’hui des millions, prêt·es à résister, à déployer les alternatives, à demander des comptes au gouvernement, aux multinationales, aux banques et aux institutions financières.

Il est temps de changer de système industriel, politique et économique, pour protéger l’environnement, la société et les individus.

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Séralini et la science : lettre ouverte

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vendredi 5 octobre 2012
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Traduite de l’anglais par Olivier Merbau (olivier.merbau (@) gmail.com). Texte original : http://independentsciencenews.org/health/seralini-and-science-nk603-rat-study-roundup/

Vous pouvez en tant que scientifique demander à ce que votre nom (et votre affiliation si vous le souhaitez) soit ajouté(s) à la liste des signataires (voir plus bas) en écrivant (an anglais) à  isneditor (@) bioscienceresource.org en n’oubliant de mettre « Seralini letter » dans le sujet de votre courriel.

Un nouvel article de l’équipe de Gilles-Eric Séralini décrit les effets nocifs sur des rats nourris avec des aliments contenant du maïs génétiquement modifié (variété NK603), avec et sans l’herbicide Roundup, ainsi qu’avec du Roundup seul. Cette étude publiée dans une revue à comité de lecture (Seralini et al., 2012a été critiquée par certains scientifiques dont les propos ont été largement rapportés dans la presse généraliste (Carmen, 2012; Mestel, 2012; Revkin, 2012; Worstall, 2012). Elle renforce les autre études démontrant la toxicité et/ou les effets sur le système endocrinien du Roundup (Gaivão et al., 2012 ; Kelly et al., 2010 ; Romno et al., 2012), comme rapporté par Antoniou et al. (2010). Lire le reste de cet article »

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Une Loi de Programmation de la Recherche sans les citoyen.ne.s ?

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lundi 11 mars 2019
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Sciences Citoyennes adresse une lettre ouverte à Mme Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, pour regretter l’absence de réflexions collectives sur les enjeux de la future loi de programmation pluriannuelle de la Recherche et pour formuler des propositions afin d’inscrire les choix scientifiques et techniques dans notre démocratie.

Vous pouvez retrouver le texte de la lettre ouverte ci-dessous :

À l’attention de Madame Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

UNE LOI DE PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE SANS LES CITOYEN.NE.S ?

Le 1er février dernier, le Premier ministre a annoncé son intention de mettre en place des groupes de travail devant préparer la future loi de programmation pluriannuelle de la recherche. L’agenda prévu est serré : suite aux contributions des groupes de travail, la loi doit être rédigée entre août et décembre 2019, pour entrer en vigueur le 1erjanvier 2021[1].

Le processus d’élaboration de cette loi de programmation est un exemple flagrant de refus d’inclusion de la société civile dans la construction des politiques publiques. En effet, il consiste à construire la loi à l’écart des citoyennes et citoyens : les groupes de travail prévus par le gouvernement dont vous faites partie ne seront constitués que de parlementaires, scientifiques, dirigeant·e·s d’organisme de recherche et acteur·rice·s industriel·le·s. Aucune place n’est prévue pour la société civile associative et les syndicats.

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Embryon ou baleine : bons pour la recherche !

Par
dimanche 21 février 2010
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Politis 1091, 25 février 2010

Les travaux réalisés ou seulement imaginés pour recréer un mammouth révèlent les délires qui s’emparent de la science quand elle confond la vie avec une substance chimique, l’ADN (1). Mais une certaine conception de la recherche permet d’élargir le bestiaire des cibles utopiques à des organismes vivants. Et quel élargissement ! On va convoquer ici le plus petit avec le plus grand de la classe des mammifères, l’embryon (inférieur à 0,2 mm) et la baleine (30 m). Quoi de commun ? Il s’agit d’êtres vivants protégés absolument… sauf dans cette situation particulière où leur élimination est justifiée par « la recherche ». La magie prométhéenne ou fabuleuse attachée à ce mot amène tous les partisans du progrès à couvrir innocemment bien des activités mercantiles ou des espoirs de gloriole. Remarquons que l’interdit posé par « la communauté internationale » concernant la recherche sur l’énergie nucléaire que souhaitent développer les Iraniens semble être la seule interdiction de science des temps modernes.
Ainsi, la loi française interdite l’utilisation de notre embryon à d’autres fins que la procréation sauf, depuis 2002, dans une situation unique : qu’il devienne l’objet de recherches (ne pouvant pas « être menées par d’autres moyens » ou ayant « une finalité médicale »…). Nos voisins britanniques ne s’embarrassent pas d’une telle phraséologie et peuvent même fabriquer depuis 20 ans des embryons humains dans le seul but de nourrir la science. De même les Japonais refusent le moratoire international sur la chasse à la baleine. Ils ont trouvé l’astuce qui permet de le contourner : ils tuent des baleines « pour la recherche » ! Depuis 1987, le programme japonais de recherche sur la baleine aurait permis la publication d’une centaine d’articles scientifiques (le thème semble aussi « compétitif » que celui de la recherche sur l’embryon humain…) mettant ainsi les activités de chasse baleinière en conformité avec la Convention internationale (ICRN) puisqu’elle exige que toute décision soit « fondée scientifiquement ». En conséquence, la chasse à la baleine qui permet l’analyse de prélèvements (ovaires, bouchons de cérumen, contenus stomacaux,etc…) se trouve validée parce qu’elle serait utile pour « la gestion durable des ressources baleinières ». Tout comme la chasse à l’embryon humain permet des travaux qui sont prétendus nécessaires pour les connaissances embryologiques et les progrès biomédicaux… alors que tous les progrès récents ont été obtenus avec des embryons de rongeurs. Dans une réponse « essentiellement émotive » (dixit le lobby japonais), les opposants à la chasse à la baleine tel Greenpeace prétendent réaliser des recherches équivalentes sans tuer ces animaux, grâce à des observations précises et à des prélèvements d’ADN. Une telle compassion pour les cétacés évoque celle des premières lois de bioéthique (1994) pour l’embryon humain, interdisant la recherche mais autorisant néanmoins des études non destructrices sur ces embryons.
Reste une différence (au moins) entre nos deux modèles. Les « sous-produits de la recherche » comme la viande baleinière doivent, selon la Commission baleinière internationale, obligatoirement être utilisés (donc consommés — à bas le gaspillage !), ce qui semble expliquer l’engouement nippon pour « la recherche ». En revanche, il est interdit de transplanter in utero l’embryon humain à l’issue de la recherche, et il n’existe pas pour lui d’usage alimentaire… A ceux qui s’opposent à leurs activités cynégétiques, les Japonais répliquent que les autres pays « n’ont pas le droit d’imposer leurs valeurs éthiques ou morales pourvu que les baleines soient utilisées en accord avec le droit international et la science ». Un argument qui ne manquera pas d’apparaître en matière de bioéthique si on décide enfin de rompre avec le tourisme scientifique et procréatif, comme avec les trafics de gamètes, embryons, ou utérus porteurs que permettent les contradictions législatives en Europe et dans le monde.

Jacques Testart, directeur honoraire de recherches à l’inserm
Secrétaire de Sciences citoyennes
(1) Le mammouth pas encore cloné , Libération 3 mars 2009

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Colloque lanceurs d’alerte le 2 avril

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lundi 2 mars 2015
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Changement de salle : Auditorium confédéral de la CFDT au 2 Bd de la Villette, Paris 19

La Fondation Sciences Citoyennes (FSC) et Transparency International France (TIF) organisent en 2015 un cycle de débats avec la société civile pour l’amendement de la protection de nos lanceurs d’alerte.

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Le brevetage du vivant

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vendredi 28 mai 2004
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Agropolis Museum, mardi 4 mai 2004 18 heures – Fondation Sciences Citoyennes, Agropolis Museum « Savoirs partagés », Collectif « Ouvrons la recherche » Lire le reste de cet article »

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