
Le 15 janvier 2025, dans une démarche transpartisane, des parlementaires de plusieurs groupes ont déposé une proposition de loi visant à faire entrer dans la Constitution les Conventions citoyennes. Lire la suite
Le 15 janvier 2025, dans une démarche transpartisane, des parlementaires de plusieurs groupes ont déposé une proposition de loi visant à faire entrer dans la Constitution les Conventions citoyennes. Lire la suite
Pendant plus d’un an, Sciences Citoyennes a accompagné le service Recherche du Conseil régional des Pays de la Loire pour envisager la mise en œuvre d’un partie de sa stratégie régionale Dialogue Sciences-Société concernant spécifiquement l’appui aux pratiques de recherche participative (co-production des savoirs). Une des activités réalisées par l’association consistait à identifier des dispositifs existants ou ayant existé qui puissent inspirer la Région dans la conception de son action publique en faveur des projets de recherche participative sur son territoire. Ce travail a abouti à la rédaction d’un recueil composé de fiches courtes présentant 27 dispositifs.
Sciences Citoyennes, à travers la coalition d’ONG pour un FP10 garant de l’intérêt général, s’est associée à une lettre ouverte demandant que le prochain programme-cadre européen de recherche et d’innovation soit préservé comme programme autonome et poursuive des objectifs qui répondent réellement aux besoins de la société.
Nous portons par ailleurs des propositions plus précises telles que l’organisation d’une Convention citoyenne pour définir une partie des missions de la recherche et de l’innovation ou une amélioration de la place de la société civile dans les orientations de la recherche et les projets de recherche eux-mêmes.
Le 10 avril, en accompagnement de cette lettre ouverte (en anglais), nous avons publié le communiqué de presse suivant :
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Sciences Citoyennes a choisi de soutenir l’appel lancé par les « 8 d’Arkema » qui est reproduit en intégralité ci-dessous :
Nous sommes les 8 d’Arkema.
Le 2 mars 2024, avec 400 autres citoyen·nes, nous avons décidé d’alerter en allant déployer une banderole sur la plateforme industrielle d’Arkema au sud de Lyon, pour dénoncer sa pollution éternelle et défendre la santé des travailleur·euses du site et des riverain·es.
Arrêté·e·s par la police, nous avons subi une répression d’État totalement disproportionnée : interpellations violentes, gardes à vue de 48h avec interrogatoires nocturnes répétés, chantage affectif de la police sur une mère, destruction d’un téléphone portable qui avait filmé des violences policières, accusations mensongères de la police, véhicule confisqué jusqu’à aujourd’hui sans justification.
Nous avons été poursuivi·es en justice par Arkema, l’empoisonneuse éternelle dont l’Etat se rend complice par son inaction, au prix de notre santé et de la pollution massive de notre environnement. Nous avons été relaxé·es en première instance : le tribunal a jugé les faits non caractérisés et notre liberté d’expression légitime et proportionnée pour défendre la santé des riverain·es et salarié·es. Lire la suite
Le 21 janvier 2025, le collectif Horizon TERRE, coordonné par les organisations Sciences Citoyennes, Ingénieurs Sans Frontières et Atécopol, a transmis le communiqué de presse suivant, faisant la critique de la consultation citoyenne organisée par le CNRS et appelant à une Convention citoyenne de programmation de la recherche.
Le CNRS a lancé le 28 novembre 2024 une consultation citoyenne intitulée « Comment les sciences peuvent-elles nous aider à construire le monde de demain ? » via une plateforme numérique. Par cette question, l’organisme de recherche invite les citoyen·nes à s’exprimer jusqu’au 31 janvier 2025, avec l’objectif affiché de renforcer le dialogue entre la recherche et la société. L’objectif est louable, mais les moyens utilisés pour y parvenir sont critiquables : le collectif Horizon TERRE propose une alternative et appelle à une Convention citoyenne de programmation de recherche.