Par quels moyens peut-on espérer choisir, pour chaque problématique, la solution supposée approcher au plus près le bien commun ? Ce n’est pas dans les rituels du «débat public» que se définit le bien commun, même ou surtout s’il utilise Internet pour recueillir des paroles plus nombreuses. L’association pour une Fondation sciences citoyennes (FSC) a développé, depuis dix ans, des propositions réellement nouvelles, non seulement, en ce qui concerne la déontologie de l’expertise et la défense des lanceurs d’alerte, mais aussi pour la résolution des controverses par des conventions de citoyens.

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