Lubrizol : les deux ans de la colère
Par Dominique Cellier et Sciences Citoyennes - Action collectivemercredi 29 septembre 2021
Montée des autoritarismes, influence des lobbys, expertises biaisées, budgets publics rabotés… La recherche scientifique n’échappe pas à l’air du temps. Dans le marigot ambiant, l’association Sciences Citoyennes poursuit ses actions pour œuvrer à la démocratisation des choix scientifiques et techniques, dans sa dénonciation de l’influence néfaste de la technoscience, dans l’implication des citoyennes et des citoyens dans la recherche et plus généralement dans la prise de décisions.
Pour cela, en 2023, Sciences Citoyennes a initié ou consolidé des réseaux Lire la suite…
Vous voulez rejoindre une équipe engagée et contribuer à valoriser la place des citoyen·nes dans les grandes orientations scientifiques et plus largement dans les choix de société́ ? Participez à une des deux missions de volontariat de service civique que Sciences Citoyennes vous propose ! Lire la suite…
Le groupe de travail « Tiers-secteur scientifique » de Sciences Citoyennes vient de publier le n°1 de sa lettre d’information « Le pouvoir distribué par les savoirs partagés ». Cette nouvelle publication vise à faire connaître les différentes actions menées par l’association sur différents sujets : recherche participative, Boutiques des Sciences, reconnaissance du tiers-secteur scientifique… Lire la suite…
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Cela fait maintenant plus d’un an et demi que Sciences Citoyennes, par la voix de la Maison des Lanceurs d’Alerte (MLA), demande à l’État d’agir pour défendre les lanceurs et lanceuses d’alerte en France en transposant rapidement la directive européenne votée fin 2019. Vous avez pu lire les lettres ouvertes publiées par la MLA appelant à une transposition rapide et ambitieuse de la directive européenne et le complément de réponse adressé au Ministre de la Justice pour l’inviter à aller plus loin que ce que la consultation restrictive et fermée lancée en mars laissait présager. La Défenseure des droits et la CNCDH sont intervenues.
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L’industrie agrochimique veut utiliser des pesticides pour contrer l’émergence des mauvaises herbes et des rongeurs. Mais ces technologies constituent-elles une véritable solution contre ce problème ? Ces pesticides pourraient causer des dégât irréparables, ils sont déjà la cause de la résistance de 540 espèces d’insectes et plus de 360 types de mauvaises herbe. Lire la suite…
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) tient son congrès mondial en septembre à Marseille. Toutes les parties prenantes intéressées par les questions liées à la biodiversité seront présentes. Les lobbies ne manqueront pas ce rendez-vous. Le forçage génétique, nouvel outil de la génétique moléculaire, y sera présenté comme un outil permettant de protéger la biodiversité contre des parasites, de nouvelles espèces invasives… Les discussions à ce sujet seront intenses.
Sciences Citoyennes rejoint le cortège de nombreuses ONG et de scientifiques, pour s’opposer fermement au forçage génétique, en application du principe de précaution, et étant donnés les risques écologiques et les atteintes éthiques au Vivant.
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Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.