Si nous sommes nécessairement satisfaits d’avoir été relaxés d’une plainte pour diffamation, après Pierre Meneton et Etienne Cendrier, et que nous avons toutes les raisons d’espérer une issue favorable pour Christian Vélot, il reste encore beaucoup à faire pour protéger, en amont, les lanceurs d’alerte sanitaire.
Le manque de cadre juridique autour de l’alerte et de l’expertise doit être comblé : notre mobilisation reste entière. Véronique Lapides, présidente de l’association Collectif Vigilance Franklin