Des chercheurs américains de l’université de Louisville (Kentucky) assurent en effet avoir rendu la vue à une femme atteinte de rétinite pigmentaire – maladie génétique longtemps jugée irréversible. Un succès qui pourrait glacer les sangs de certains militants américains « pro-life » (pro-vie), puisqu’il repose sur l’utilisation de cellules prélevées sur un foetus humain issu d’un avortement.
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