Le changement climatique, via le réchauffement de l’atmosphère, est responsable du dégel du pergélisol. En fondant, le pergélisol libère des matières organiques qui, soumises à l’activité microbienne, produisent du CO2 en présence d’oxygène quand les sols sont secs ou du méthane quand ils sont saturés d’eau.
Le changement climatique, via le réchauffement de l’atmosphère, est responsable du dégel du pergélisol. En fondant, le pergélisol libère des matières organiques qui, soumises à l’activité microbienne, produisent du CO2 en présence d’oxygène quand les sols sont secs ou du méthane quand ils sont saturés d’eau.
La prochaine Université d’été des mouvements sociaux et des solidarités (UEMSS) aura lieu du 23 au 27 août 2023 à l’Université Sorbonne Paris Nord au Campus de Bobigny (93). Sciences Citoyennes a proposé d’y tenir des ateliers et des modules, qui sont en cours de définition et de modélisation avec nos partenaires. Nous vous en dirons plus très prochainement. Le programme, très dense, vise à faire de cette université un lieu d’apprentissage et d’échanges, de luttes et de savoirs critiques.
Le 2 mai 2023, Mme Sylvie Ferrer, députée des Hautes-Pyrénées, a adressé au gouvernement la question suivante :
« Mme Sylvie Ferrer appelle l’attention de Mme la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche sur la mise en place de convention citoyennes. Le 8 novembre 2021, les députés ont voté les 34 milliards d’euros d’investissement « France 2030 » en moins d’une heure. Ce budget pour l’innovation technologique, qualifié d’« amendement le plus cher de la Ve République », n’a pas eu le temps d’être débattu en profondeur. Pourtant il existe de nombreux choix possibles dans l’affection des budgets d’investissements pour les sciences et technologies. Lire la suite…
Plusieurs collectifs ou associations signent un appel commun de soutien au mouvement social en cours.
Nous appelons à soutenir les grèves et les manifestations en opposition à la réforme des retraites. Son contenu, ainsi que les moyens mis en oeuvre pour la faire inscrire dans la loi, sont contraires aux valeurs que nous défendons.
Envie d’en apprendre plus sur certaines des thématiques de Sciences Citoyennes mais vous n’avez pas le temps de lire nos articles ? Nos podcasts vous permettent maintenant de découvrir des sujets tels que l’intelligence artificielle ou la modification génétique tout en faisant votre vaisselle ou votre jogging.
En vue des prochaines échéances électorales, le CAC invite à la libre expression des acteurs associatifs au travers une enquête. Le collectif propose de réfléchir à l’évolution du monde associatif en répondant dans un premier temps à un questionnaire en ligne sur le quinquennat qui se termine et les attentes pour le prochain.
Afin d’offrir aux organisations de la société civile des dispositifs de recherche en mesure de répondre à leurs besoins ou questions, Sciences Citoyennes accompagne les projets de Boutiques des Sciences en France. Les boutiques des sciences ont la vertu de mettre à disposition des moyens de recherche à des citoyens organisés (associations, collectivités territoriales, conseils de quartier…) de manière participative et désintéressée. Les boutiques de sciences ne vendent rien (au sens marchand du terme), elles interviennent sur la reformulation du besoin en projet de recherche ou d’expertise et rassemblent les acteurs (étudiants, enseignants, chercheurs, organisations de la société civile…) à même de le mettre en œuvre. Avec le soutien du réseau international Living Knowledge (dont elle est le point de contact national), elle a contribué à la naissance et, dans la plupart des cas, au développement de structures de ce type à Cachan, Grenoble, Lyon, Lille et Montpellier.
Afin d’offrir aux organisations de la société civile des dispositifs de recherche en mesure de répondre à leurs besoins ou questions, Sciences Citoyennes accompagne les projets de Boutiques des Sciences en France. Les boutiques des sciences ont la vertu de mettre à disposition des moyens de recherche à des citoyens organisés (associations, collectivités territoriales, conseils de quartier…) de manière participative et désintéressée. Les boutiques de sciences ne vendent rien (au sens marchand du terme), elles interviennent sur la reformulation du besoin en projet de recherche ou d’expertise et rassemblent les acteurs (étudiants, enseignants, chercheurs, organisations de la société civile…) à même de le mettre en œuvre. Avec le soutien du réseau international Living Knowledge (dont elle est le point de contact national), elle a contribué à la naissance et, dans la plupart des cas, au développement de structures de ce type à Cachan, Grenoble, Lyon, Lille et Montpellier.
Afin d’offrir aux organisations de la société civile des dispositifs de recherche en mesure de répondre à leurs besoins ou questions, Sciences Citoyennes accompagne les projets de Boutiques des Sciences en France. Les boutiques des sciences ont la vertu de mettre à disposition des moyens de recherche à des citoyens organisés (associations, collectivités territoriales, conseils de quartier…) de manière participative et désintéressée. Les boutiques de sciences ne vendent rien (au sens marchand du terme), elles interviennent sur la reformulation du besoin en projet de recherche ou d’expertise et rassemblent les acteurs (étudiants, enseignants, chercheurs, organisations de la société civile…) à même de le mettre en œuvre. Avec le soutien du réseau international Living Knowledge (dont elle est le point de contact national), elle a contribué à la naissance et, dans la plupart des cas, au développement de structures de ce type à Cachan, Grenoble, Lyon, Lille et Montpellier.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
L’industrie agrochimique veut utiliser des pesticides pour contrer l’émergence des mauvaises herbes et des rongeurs. Mais ces technologies constituent-elles une véritable solution contre ce problème ? Ces pesticides pourraient causer des dégât irréparables, ils sont déjà la cause de la résistance de 540 espèces d’insectes et plus de 360 types de mauvaises herbe. Lire la suite…
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
Le 1er février 2019, le Premier Ministre annonçait la mise en place d’une Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) afin de « redonner à la recherche visibilité, liberté et moyens ». Le processus de préparation de la loi porte la vision d’une recherche centralisée et au service d’une économie de la connaissance. Enfermer le monde de la recherche dans un modèle de compétition économique qui transforme le savoir en valeur marchande et les chercheurs en entrepreneurs, c’est l’empêcher de répondre aux nouveaux défis auxquels notre société est confrontée, qu’il s’agisse de santé environnementale, de transition écologique, de biodiversité… L’urgence aujourd’hui est de remettre l’intérêt général au centre de l’institution de recherche, de donner les moyens aux scientifiques de s’inscrire dans une activité véritablement autonome, ouverte et engagée dans le monde.
La technologie du forçage génétique (gene drive en anglais), basée sur de nouveaux outils de génie génétique comme Crispr/Cas9, est conçue pour modifier génétiquement, remplacer ou éradiquer des populations et des espèces entières. Cette biotechnologie est conçue pour l’éradication des espèces porteuses de maladies comme le moustique vecteur du paludisme, des espèces envahissantes et des parasites agricoles. Ces éradications sont censées profiter à la santé humaine, à l’agriculture et à la conservation de la biodiversité, selon ses promoteurs. Toutefois, toute dissémination dans l’environnement d’organismes issus du forçage génétique est faite pour être hégémonique et incontrôlable et leurs impacts sur les écosystèmes et les sociétés sont actuellement imprévisibles et irréversibles. Lire la suite…
La technologie du forçage génétique (gene drive en anglais), basée sur de nouveaux outils de génie génétique comme Crispr/Cas9, est conçue pour modifier génétiquement, remplacer ou éradiquer des populations et des espèces entières. Cette biotechnologie est conçue pour l’éradication des espèces porteuses de maladies comme le moustique vecteur du paludisme, des espèces envahissantes et des parasites agricoles. Ces éradications sont censées profiter à la santé humaine, à l’agriculture et à la conservation de la biodiversité, selon ses promoteurs. Toutefois, toute dissémination dans l’environnement d’organismes issus du forçage génétique est faite pour être hégémonique et incontrôlable et leurs impacts sur les écosystèmes et les sociétés sont actuellement imprévisibles et irréversibles.
La technologie du forçage génétique (gene drive en anglais), basée sur de nouveaux outils de génie génétique comme Crispr/Cas9, est conçue pour modifier génétiquement, remplacer ou éradiquer des populations et des espèces entières. Cette biotechnologie est conçue pour l’éradication des espèces porteuses de maladies comme le moustique vecteur du paludisme, des espèces envahissantes et des parasites agricoles. Ces éradications sont censées profiter à la santé humaine, à l’agriculture et à la conservation de la biodiversité, selon ses promoteurs. Toutefois, toute dissémination dans l’environnement d’organismes issus du forçage génétique est faite pour être hégémonique et incontrôlable et leurs impacts sur les écosystèmes et les sociétés sont actuellement imprévisibles et irréversibles.
La technologie du forçage génétique (gene drive en anglais), basée sur de nouveaux outils de génie génétique comme Crispr/Cas9, est conçue pour modifier génétiquement, remplacer ou éradiquer des populations et des espèces entières. Cette biotechnologie est conçue pour l’éradication des espèces porteuses de maladies comme le moustique vecteur du paludisme, des espèces envahissantes et des parasites agricoles. Ces éradications sont censées profiter à la santé humaine, à l’agriculture et à la conservation de la biodiversité, selon ses promoteurs. Toutefois, toute dissémination dans l’environnement d’organismes issus du forçage génétique est faite pour être hégémonique et incontrôlable et leurs impacts sur les écosystèmes et les sociétés sont actuellement imprévisibles et irréversibles.
La technologie du forçage génétique (gene drive en anglais), basée sur de nouveaux outils de génie génétique comme Crispr/Cas9, est conçue pour modifier génétiquement, remplacer ou éradiquer des populations et des espèces entières. Cette biotechnologie est conçue pour l’éradication des espèces porteuses de maladies comme le moustique vecteur du paludisme, des espèces envahissantes et des parasites agricoles. Ces éradications sont censées profiter à la santé humaine, à l’agriculture et à la conservation de la biodiversité, selon ses promoteurs. Toutefois, toute dissémination dans l’environnement d’organismes issus du forçage génétique est faite pour être hégémonique et incontrôlable et leurs impacts sur les écosystèmes et les sociétés sont actuellement imprévisibles et irréversibles.
La technologie du forçage génétique (gene drive en anglais), basée sur de nouveaux outils de génie génétique comme Crispr/Cas9, est conçue pour modifier génétiquement, remplacer ou éradiquer des populations et des espèces entières. Cette biotechnologie est conçue pour l’éradication des espèces porteuses de maladies comme le moustique vecteur du paludisme, des espèces envahissantes et des parasites agricoles. Ces éradications sont censées profiter à la santé humaine, à l’agriculture et à la conservation de la biodiversité, selon ses promoteurs. Toutefois, toute dissémination dans l’environnement d’organismes issus du forçage génétique est faite pour être hégémonique et incontrôlable et leurs impacts sur les écosystèmes et les sociétés sont actuellement imprévisibles et irréversibles.
L’intelligence artificielle et ses algorithmes sont de plus en plus présents dans notre vie quotidienne : des recommandations de publicités sur mesure à la conduite de véhicules autonomes. Une question se pose cependant : l’intelligence artificielle est-elle éthique ?
Des dilemmes et critiques continuent d’apparaitre : nos données personnelles doivent-elles être utilisées ainsi à des fins commerciales ? Si l’accident était impossible à éviter, une voiture devrait-elle protéger un piéton plutôt que ses passagers ? Et surtout, l’intelligence artificielle agit-elle vraiment dans les intérêts de ses utilisateurs ?
Horizon TERRE est une réponse à la stratégie de recherche européenne définie dans le programme « Horizon Europe », lequel ne nous semble pas en mesure de répondre aux principaux défis sociétaux contemporains. Lire la suite…
Réunies autour du collectif « Objectif Zéro OGM », 25 organisations (voir ci-dessous) lancent une pétition pour que le gouvernement français publie le décret qui doit répondre aux injonctions prononcées par le Conseil d’État dans son arrêt du 7 février 2020 concernant les OGM issus de mutagenèse ainsi que les Variétés Rendues Tolérantes aux Herbicides ( https://ogmjenveuxpas.agirpourlenvironnement.org). Lire la suite…
Jacques Testart, biologiste, président d’honneur de Sciences Citoyennes. L’article est également disponible dans la revue Les Possibles — No. 25 Automne 2020.
La récente pandémie a montré l’impuissance de la science pour combattre un fléau pourtant clairement attendu. Ce n’est pas seulement l’insuffisance matérielle des moyens de protection (masques, désinfectants, tests…) qui fut alors révélée, démontrant une carence du politique, c’est l’ignorance scientifique de leur efficacité réelle et de leurs places respectives dans la stratégie de distanciation et de confinement, seule parade disponible bien qu’héritée des siècles passés. Et ce n’est pas seulement l’absence de traitement qui inquiète, c’est la perspective très lointaine et même douteuse d’un traitement efficace (vaccin).
Pourtant, les responsables politiques, et les médias unanimes, ont propulsé la science et les « savants » comme unique source de savoir et de proposition. Outre la création de deux conseils scientifiques pour éclairer le gouvernement, la plupart des controverses publiques ont évalué le degré de scientificité de telle ou telle mesure (voir la comédie médiatique avec Didier Raoult en vedette non conformiste), comme la controverse de Valladolid évaluait le degré d’humanité des « sauvages ». Ce fut alors un spectacle de science réelle avec son cortège de fake news, de preuves expéditives ou de remèdes miracles, pour cause de compétition et d’articles falsifiés jusque dans The Lancet.
un.e chercheur.e, un.e citoyen.ne, un.e chargé.e de projet, un.e financeur.e, un.e consultant.e, un.e étudiant.e, etc.
déjà impliqué.e dans des démarches de sciences participatives
à la recherche d’un espace de formation pour améliorer vos pratiques
Vous pensez que pour tendre vers une société plus juste et plus durable il faut construire collectivement les solutions et savoirs.
Alors, rejoignez-nous pour l’école thématique « Co-créer les savoirs pour construire la société de demain » pour une semaine de formation, d’apprentissage et d’échange bienveillants sur la recherche en co-création. La semaine aura lieu en résidentiel du dimanche 3 janvier 2021 au vendredi 8 janvier 2021 à Bruxelles (Maison Notre-Dame du Chant-D’Oiseau à Woluwé-Saint-Pierre, Belgique).
The videos of the conference in English are online!
The 3rd TeRRIFICA Reflective Workshop and Conference “Citizens’ Conventions, Taking Democracy Seriously” was held in Paris on October 14th and 15th 2019. The event was hosted at the Economic Social and Environmental Council (CESE) and the Fondation Charles Léopold Mayer.
Sciences Citoyennes organized both activities within the framework of the H2020 TeRRIFICA project, whereby eight European institutions work together to foster competence for climate change adaptation and mitigation in different European regions with a specific focus on Responsible Research and Innovation.
« Le contexte de «déconfinement progressif» est encore très incertain et beaucoup dépend de paramètres que personne ne maîtrise, comme la mise au point d’un vaccin ou la découverte de traitements efficaces contre le Covid-19. Mais c’est précisément dans les périodes de choc d’immédiat après-crise que l’histoire s’accélère, que les bifurcations sont engagées ou pas, que les décisions prises conditionnent pour une longue période la construction du futur. L’expérience toute récente est source de prises de conscience et de ré exions de plus long terme sur lesquelles nous entendons bien nous appuyer.
Depuis plusieurs mois, des organisations syndicales et associatives convergent, convaincues que les réponses aux urgences sociales et écologiques doivent être construites ensemble. La crise qui a éclaté en ce début d’année 2020 montre une fois de plus la nécessité de changer de système. C’est pourquoi nos organisations ont constitué un front élargi et inédit pour initier une tribune, puis une pétition et un appel aux mobilisations du 1er mai. Nous pensons que le moment est venu de préciser les contours du «plus jamais ça» que nous mettions en avant dans cette tribune le 18 mars et auquel nous entendons désormais donner plus de corps. Désormais il est nécessaire de dépasser l’effet de sidération paralysant que génère le traumatisme de la crise sanitaire. Il s’agit d’amener la population à se saisir de ce moment pour exiger que des enseignements en soient tirés.
« L’association Sciences Citoyennes revendique le désenclavement de la science et de ses institutions. Elle plaide pour l’élaboration démocratique des choix scientifiques et techniques, par la mise en débat et l’instauration de dispositifs délibératifs sur les politiques publiques en matière de recherche. »
A l’initiative du réseau Global Campaign to Demand Climate Justice, des organisations à travers le monde signent cet appel à une nouvelle normalité. L’appel en anglais et espagnol, ainsi que la liste complète des signataires (dont Sciences Citoyennes fait partie) sont disponibles ici.
La pandémie de COVID-19 expose un système économique incapable de répondre aux besoins des populations et de la planète. Notre seule solution pour faire face à cette crise mondiale, qui survient au milieu d’une crise climatique dévastatrice, est de nous unir et de construire un monde plus juste, plus résistant et plus durable. En tant que membres et alliés de la Campagne mondiale pour exiger la justice climatique, nous formulons une première série de demandes aux gouvernements dans le cadre de leur réponse à la pandémie.
Le Parcours de Master “études environnementale” de l’Ehess, l’association Sciences Citoyennes et le journal Reporterre se sont associés, grâce à un financement de la fondation Charles Léopold Mayer – FPH, pour créer en 2020 un dispositif expérimental novateur de soutien à la formation et la recherche collaborative entre un Établissement Public d’Enseignement Supérieur et de Recherche (Ehess) et des organisations de la société civile à but non lucratif.
Sciences Citoyennes soutient l’Appel commun à la reconstruction, porté par de nombreuses associations, et appelle les citoyens à rejoindre cette initiative commune.
Nous aimions nous croire invulnérables.
La réalité nous a rattrapés.
La crise sanitaire que nous traversons a interrompu brutalement le cours de nos vies. Elle a imposé le confinement de la moitié de la planète et perturbé toutes nos habitudes. Des millions de personnes ont perdu leur emploi. Beaucoup ont dû dire adieu à des proches. Avec la crise, nos préoccupations ont profondément changé.
Aujourd’hui, le gouvernement prend des mesures extraordinaires pour sauver des entreprises. Demain, il organisera la relance de l’économie. Mais la grande erreur serait de reconstruire notre monde en conservant les méthodes d’hier. Notre société s’est révélée fragile, alors que nous sommes face à de nombreux autres périls. En plus des crises sanitaires, les désastres écologiques nous menacent et les inégalités sociales nous rendent toujours plus vulnérables.
Sciences Citoyennes est signataire aux côtés de 61 organisations d’une lettre à destination des institutions européennes et gouvernements nationaux; la lettre demande que la recherche publique sur le COVID-19 fasse passer la santé avant le profit.
Les activités humaines ont causé un réchauffement du climat d’environ 1°C par rapport à l’ère préindustrielle. Localement, nous sommes témoins des effets des changements climatiques et savons que ces impacts vont probablement s’aggraver dans les années à venir.
Sur invitation de trois députés, Mme Buffet, Mme Victory et M. Prud’homme, Sciences Citoyennes organise un séminaire de travail le 13 février, de 9h à 13h à l’Assemblée Nationale, pour échanger avec des acteurs du monde de la recherche, autour de la future Loi de Programmation Pluriannuelle de la recherche (LPPR). Pour les personnes inscrites, rendez-vous au 126 rue de l’Université, salle Premier Bureau. Lire la suite…
La troisième rencontre du Consortium du projet TeRRIFICA s’est tenue à Barcelone les 3 et 4 décembre 2019. L’évènement s’est déroulé à La Fàbrica del Sol, un lieu municipal d’éducation à l’environnement qui intègre différents services pour les citoyens concernant les énergies renouvelables, l’écologie et la durabilité urbaine.
ACUP / GUNI a organisé cette rencontre dans le cadre du projet H2020 TeRRIFICA, dans lequel huit institutions européennes travaillent ensemble à renforcer les capacités pour l’atténuation et l’adaptation aux changements climatiques dans différentes régions européennes, en particulier à travers la Recherche et l’Innovation Responsable.
The 3rd TeRRIFICA Consortium meeting was held in Barcelona on December 3rd-4th 2019. The event was hosted at La Fàbrica del Sol, a municipal facility for environmental education that integrates a number of services for citizens in renewable energy, urban environment and sustainability.
ACUP / GUNi organized the meeting within the framework of the H2020 TeRRIFICA project, whereby eight European institutions work together to foster competence for climate change adaptation and mitigation in different European regions with a specific focus on Responsible Research and Innovation.
Sciences Citoyennes est signataire, aux côtés de 278 organisations, d’une lettre ouverte sur le Traité sur la Charte de l’Énergie, adressée aux Ministres, Commissaires et Membres des Parlements nationaux et du Parlement Européen. Cette vidéo donne un exemple de comment le traité peut être utilisé par des industries des énergies fossiles pour poursuivre en justice les États pour leurs politiques climatiques. La lettre en français est disponible ici.
Dear Ministers, Commissioners, Members of Parliament and of the European Parliament,
We are writing to you as concerned civil society groups and trade unions from member states of the Energy Charter Conference, which will hold its annual meeting in Brussels over the next two days (10-11 December 2019). A first negotiation round to modernise the Energy Charter Treaty (ECT) will take place on 11 December.
We urge you to act to hold the industries and corporations that have fueled and continue to worsen the climate crisis liable, as well as the executives behind them, so that we may advance climate justice globally.
For decades, Big Polluters like Exxon, Shell, and others have spent billions of dollars simultaneously fueling and denying the climate crisis, delaying action, and pushing false “solutions” at every level—all while raking in billions in profits each year. And despite what their greenwashing advertising says, they’re still doing it, as are other major polluting industries like agribusiness.
People around the globe are fighting to protect their homelands from the rising seas, their loved ones from extreme weather events, and their lives and livelihoods from floods, droughts, pipelines, brutal fossil fuel extraction, deforestation, destruction of natural ecosystems, land grabs, and other violations of their rights. Communities in the Global South, women, youth, indigenous peoples, and other communities on the front lines of the climate crisis urgently need funding to implement a just and equitable transition away from fossil fuels and false “solutions” like carbon markets and offsets, bioenergy, and geo-engineering—and toward the community-centered solutions that must power our future: solutions like leaving fossil fuels in the ground, practicing agroecology, protecting vital ecosystems like the Amazon rainforest, and other solutions enshrined in the People’s Demands for Climate Justice.
Le 4 octobre dernier, Philippe Huneman, chercheur CNRS affilié à l’Université Paris I Sorbonne, publiait une lettre ouverte, pour protester contre la participation de Laurent Alexandre à un événement placé sous le haut patronage de la présidence de l’Université Paris 1.
Se retrouvant dans les principes énoncés dans la lettre, Sciences Citoyennes publie ici la lettre, avec l’accord de son auteur, qui complète ici son propos par un épilogue, rédigé a posteriori, suite à la reprise massive de la lettre dans les réseaux sociaux.
Cette année a vu une prolifération d’initiatives se mobilisant pour « défendre la Science », sa culture, sa rationalité, sa place dans la prise de décisions publiques. Ce militantisme « Pro-Science » est-il une réponse à une défiance croissante de nos sociétés en crise face au développement technoscientifique ou correspond-il à la résurgence d’un scientisme héritier d’un positivisme du XIXème siècle ?
Pour comprendre et analyser ce phénomène, Sciences Citoyennes vous convie à un apéritif-débat le mercredi 27 novembre, dans les locaux de la FPH (38 rue Saint Sabin, 75011 Paris), de 19h à 21h30, en présence de quatre intervenants : Lire la suite…
Sciences Citoyennes est signataire de cette tribune pour une politique zéro fossile. La campagne a été fondée par Corporate Europe Observatory, Friends of the Earth Europe, Food & Water Europe et Greenpeace EU. Plus de 200 organisations ont rejoint l’initiative demandant une politique sans énergie fossile.
Rejoignez notre appel pour une politique sans énergies fossiles et signez notre lettre.
Cher.e personne politique
Nous sommes dans une situation d’urgence climatique, créée par l’industrie des énergies fossiles. Nous exigeons une politique zéro fossile !
Des communautés sont déjà touchées par les impacts de la crise climatique, par des tempêtes, sécheresses et incendies record – en particulier dans les pays des Suds. Notre droit à une vie saine, à une nourriture de qualité et à des conditions de vie décentes est en danger pendant que quelques privilégiés mènent une vie de luxe.
14 organisations, dont Sciences Citoyennes, sont signataires de la tribune d’appel à la désobéissance civile le 19 avril contre la République des Pollueurs.
Malgré ses beaux discours, Emmanuel Macron a prouvé depuis le début de son mandat qu’il n’était pas le champion du climat. Alors que l’urgence écologique nous est rappelée à chaque canicule, tempête, inondation ou extinction d’espèce, le président de la République ignore les actions immédiates et radicales dont nous avons besoin pour limiter la catastrophe. La jeunesse est en grève pour défendre son droit à un avenir. Des centaines de milliers de citoyen-ne-s marchent pour la justice climatique, sociale et la préservation de la biodiversité. Plus de deux millions de personnes soutiennent le recours en justice visant l’Etat pour inaction climatique. Face à leurs cris d’alerte, Emmanuel Macron refuse de changer de cap.
Notre printemps sera climatique et social. Le 15 mars, la jeunesse sera en grève partout en France et dans le monde.
Le 16 mars, nous marcherons ensemble, pour dire « ça suffit ! » et demander des changements immédiats.
Lors de la quatrième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’Environnement (UNEA-4), qui se tiendra à Nairobi, Kenya, du 11 au 15 mars 2019, une proposition de résolution sur la gouvernance globale de la géo-ingénierie* est mise à l’agenda par la Suisse, et soutenue par le Burkina Faso, les États Fédérés de Micronésie, le Mali, le Mexique et le Niger.
À l’appel de l’ONG ETC Group**, l’association Sciences Citoyennes vous demande d’exprimer une opposition ferme aux tentatives agressives de légitimer la géo-ingénierie comme réponse aux changements climatiques en interpellant le ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy Lire la suite…
Comme tous les ans, ETC Group, ONG internationale présente sur 5 continents, propose une analyse aiguisée des enjeux scientifiques et techniques qui se dessinent pour 2019 et les années à suivre. Pour rappel, Sciences Citoyennes et ETC Group joignent régulièrement leurs efforts pour décrypter et analyser les enjeux autour de technologies émergentes (conférences, plaidoyers communs, événements internationaux tels que le Forum Social mondial ou le Forum Mondial Sciences et Démocratie…). Lire la suite…
Depuis une trentaine d’années, la restauration scolaire a subi silencieusement une révolution en profondeur : les cantines locales ont progressivement cédé la place à des cuisines centrales « industrielles » pouvant élaborer des dizaines de milliers de repas quotidiens. Cette logique de centralisation a nécessité l’utilisation de nouveaux processus industriels faisant très largement appel au « Plastique »: aujourd’hui les repas de centaines de milliers d’enfants sont cuits 48 a à 72 heures dans des poches en plastique, conservés jusqu’à trois semaines dans ces poches, conditionnés et réchauffés dans des barquettes en plastique, puis servis dans des assiettes en plastique.
Or le plastique est un produit sournois: loin d’être inerte et inoffensif, il se dégrade et libère des dizaines de composés différents dont un très grand nombre sont toxiques. Lire la suite…
La journée mondiale Dans nos rues pour le climat se tiendra le 8 septembre 2018. Cette journée, en amont du Global Climate Action Summit de San Francisco, des milliers de rassemblements auront lieu partout dans le monde et en France. Sciences Citoyennes s’y associe pour faire passer un message simple à nos élu.e.s, nos institutions : assez de tergiversations, assez de retards ! Nous marquerons notre engagement à faire campagne pour construire un monde libéré des combustibles fossiles. “Pas un Euro de Plus” pour l’industrie fossile, réinvestissons dans un modèle énergétique sobre, décentralisé et renouvelable, tenons l’industrie fossile responsable pour les destructions qu’elle cause.
Réaction d’une coalition d’organisations de la société civile à la proposition de la commission européenne pour le programme FP9.
Merci de nous faire savoir si vous souhaitez que votre organisation soit signataire.
Dans sa proposition pour le futur neuvième programme-cadre Recherche & Innovation (R&I) appelé Horizon Europe, la Commission Européenne suggère d’inclure la « compétitivité industrielle » dans les objectifs et dans le nom du deuxième futur pilier « challenge global ». Ce serait une profonde erreur.
Bonjour et merci d’avoir (ré-)adhéré à notre association.
En dehors des événements publics que nous organisons et de l’assemblée générale auxquels vous êtes convié.e.s, vous pouvez suivre nos activités au quotidien sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter) et sur le site web de l’association : https://sciencescitoyennes.org/.
Un espace adhérent.e.s vous est désormais dédié sur notre site à l’adresse suivante : https://sciencescitoyennes.org/espace-adherents/ (le mot de passe vous a été communiqué lors de votre (ré-)adhésion).
Cet espace a pour objectif de renforcer les liens et les interactions entre l’association et vous.
Ce lieu d’information et d’échange vous offre l’opportunité :
de vous inscrire à nos revues de presse et d’y contribuer ;
d’échanger avec nos « points de contact » à Paris et en régions ;
d’utiliser un agenda partagé pour annoncer des événements ;
de proposer des articles, illustrations et autres services ;
de participer concrètement à nos activités et de mettre votre temps et vos compétences au service de l’association. Il vous est possible de remplir un formulaire de compétences en ligne, dans la rubrique « Participer » et de vous référer aux petites annonces concernant nos besoins spécifiques pour un événement particulier.
Enfin, vous trouverez les comptes-rendus, les dates et les ordres du jour des futurs Conseils d’administration.
Par ailleurs, un reçu fiscal vous sera envoyé par courrier postal ou électronique. Nous tenons à vous indiquer que cette procédure est automatique lorsque vous effectuez une (ré-)adhésion en ligne. Pensez-y l’année prochaine !
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez la moindre question.
Merci encore de nous soutenir et bienvenue à bord.
La FSC s’associe à l’Appel à mobilisation le26 février 2016 ‘Pour l’abandon du projet d’aéroport – Pour l’avenir de la ZAD – Ni expulsions, ni travaux’.
La Fondation Sciences Citoyennes (FSC) prend part aux mobilisations citoyennes autour de la COP21 avec la Coalition Climat 21 (http://coalitionclimat21.org/) dont elle est membre. Dans ce cadre, nous avons choisi de travailler sur la question de la manipulation du climat à grande échelle aussi appelée géo-ingénierie afin d’alerter sur les risques majeurs que ces technologies pourraient impliquer. Nous avons rédigé un questionnaire ainsi que des fiches didactiques disponibles ici (https://sciencescitoyennes.org/geo-ingenierie/), nous réaliserons des interviews d’acteurs-clés, tiendrons des ateliers sur ce thème et participerons aux différents temps forts de la mobilisation.
En écho au Manifeste pour une Recherche Scientifique Responsable publié par la FSC, nous relayons ici un article sur « La loi du nouveau marché académique », consécutif au suicide d’un professeur de médecine britannique et soulignant la pression subie par les chercheurs, comme d’autres travailleurs.
Une lettre ouverte a été publiée le 28 Juillet dernier, lors d’une Conférence Internationale sur l’Intelligence artificielle (IJCAI 2015). Elle est signée par plus d’un millier de personnalités scientifiques, dont l’astrophysicien Stephen Hawking, le cofondateur d’Apple Steve Wozniak ou encore le linguiste Noam Chomsky et réclame l’arrêt de la recherche sur des armes dotées d’intelligence artificielle. Voici ci-dessous une traduction du texte.
« Les armes autonomes peuvent sélectionner et attaquer des cibles, sans intervention humaine. Cela peut inclure, par exemple, la recherche et l’élimination de personnes répondant à certains critères, mais ne correspond pas aux missiles ou drones pour lesquels l’intervention humaine est nécessaire.
Aujourd’hui, les technologies d’intelligence artificielle (IA) ont atteint un tel stade de développement qu’il parait complètement possible que ces armes autonomes soient déployées dans quelques années, et non pas dans quelques décennies. Les enjeux sont colossaux : les armes autonomes ont été décrits comme la troisième révolution dans l’art de la guerre, après la poudre à canons et les armes nucléaires.
Le projet Laboratoire Hors Murs pour l’agrobiodiversité (LHM) a débuté en juin 2013 et se terminera début 2015. L’idée principale du projet est de développer les recherches collaboratives avec les agriculteurs dans le domaine de la gestion et de la valorisation de l’agro-biodiversité, en France, en Algérie et au Bénin.Vous pouvez lire ou relire la présentation du projet en vous rendant à la page suivante :
Le projet Labo Hors Murs est une plateforme de structuration des échanges et des initiatives autour de l’agrobiodiversité, au sein de la recherche mais aussi et surtout entre société civile et monde de la recherche. Quelques objectifs concrets à atteindre :
1- impliquer les citoyens dans une recherche capable de changer les pratiques autour de la biodiversité cultivée, mais aussi les pratiques d’expertise, de production de connaissances et d’innovation.
Le 6 avril 2009 de 14 h à 18 h 30 aura lieu l’audition publique sur « les antennes relais à l’épreuve des inquiétudes du public et des données scientifiques » à l’Assemblée nationale, 126, rue de l’Université – Paris 7ème (salle 6241).Contact : secrétariat de l’OPECST – 01 40 63 88 15
For more informations and to sign
Evolutionary biology in Leiden will be halved due to a disastrous reorganization of the faculty of sciences. Proper training in evolutionary biology will not be possible anymore, although this is a necessary basis for all branches of biology. Training and research in theoretical modeling will also not be possible and Leiden will turn away from involvement in the current major ecological and evolutionary challenges of climate change and biodiversity loss.The following evolutionary biologists will be fired or cannot continue their research : Jacques van Alphen, Tom Van Dooren, Frietson Galis, Sacha Gultyaev, Patsy Haccou, Ken Kraaijeveld, Femmie Kraaijeveld, Hans Metz (retired, but still very active) and Rino Zandee. This list contains a Marie Curie professor of Excellence (JVA), the president of the European Society for Evolutionary Developmental Biology (FG) and the executive vice-president of the European Society of Evolutionary Biology (PH).
Research is one of the most important tools for the further development and spread of organic food and farming. It is thus important that the EU research programme provides adequate support for organic food and farming research. Organic agriculture and food production are innovative learning fields for sustainability and are therefore of special interest to European societies.
« Ah le beau journalisme d’investigation ! Une nouvelle plutôt effrayante que la présence de polonium radioactif dans les cigarettes ? Il y a quinze ans l’esprit n’était pas à fustiger le tabac, pas plus que le nucléaire, alors… ce n’est que maintenant qu’on invite une prétendue « nouvelle » étude qui « révélerait » cette présence, à partir de documents « internes » aux sociétés de tabac.
Billevesées ! J’avais analysé des publications scientifiques et fait un long article sur le polonium 210, radioactif, dans les cigarettes, il y a quinze ans. »
Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1 juillet 1901 et le décret du 16 août 1901 et ayant pour titre « Fondation Sciences Citoyennes ».
Article II – Objet Social
Cette association a, directement ou indirectement, pour objet de favoriser une réappropriation citoyenne et démocratique de la science. Il s’agit notamment :
de promouvoir le développement d’un tiers secteur scientifique, notamment en faisant connaître, en suscitant et en mettant en réseau les initiatives -françaises et étrangères- de recherche et d’expertise de la société civile, des forces associatives, consuméristes, syndicales et citoyennes.
de mener des activités de recherche et d’expertise sur des thématiques liées en particulier à des questions de politique ou de gouvernance de la recherche au niveau français, européen et international.
de stimuler la liberté d’expression et de débat dans le monde scientifique, d’appuyer les lanceurs d’alerte, et de donner un caractère public aux controverses, aux « forums hybrides » et aux débats sur les enjeux à forte technicité scientifique. D’alimenter le débat public relatif aux politiques publiques en matière scientifique et technique et de promouvoir les réformes et processus allant dans le sens d’une élaboration démocratique des choix scientifiques et techniques.
Article III – Siège social
Le siège social est fixé au 84 rue de l’Aqueduc, 7010 Paris. Il pourra être transféré sur simple décision de la majorité des membres du Conseil d’Administration. La ratification par l’Assemblée Générale la plus proche sera nécessaire.
Article IV – Membres
L’association se compose de membres d’honneur et de membres actifs.
Membres d’honneur : Il s’agit de personnes physiques ou morales ayant concouru à la création ou au développement de l’association. Ils sont dispensés de cotisation annuelle.
Membres actifs : Il s’agit de personnes physiques ou morales ayant acquitté une cotisation dont le montant est fixé par l’assemblée générale annuelle.
Article V – Admission
Pour faire partie de l’association, il suffit d’adhérer à la charte de l’association et d’acquitter le montant de la cotisation prévue. L’association est ouverte aux personnes physiques et aux personnes morales, notamment les organisations de recherche citoyenne et aux associations et syndicats mobilisés sur des enjeux à caractère scientifique et technique.
Article VI – Les ressources de l’association comprennent :
a) les cotisations ;
b) les subventions de l’Etat, de l’Union Européenne, des départements et des communes et autres collectivités territoriales ;
c) les dons ou legs provenant d’entreprises, d’organisations, de fondations, de particuliers, membres ou non-membres de l’association ;
d) les bénéfices provenant d’événements organisés ou non par l’association ;
e) les bénéfices provenant de la vente d’objets d’art et de tout autre produit, service ou création de l’association ;
f) toutes autres ressources non interdites par les lois et les règlements en vigueur.
Article VII – Conseil d’Administration
L’association est dirigée par un Conseil d’Administration composé de 6 à 15 personnes, physiques ou représentants de personnes morales.
Il est renouvelé par moitié chaque année. Les membres du Conseil d’Administration sont rééligibles. En cas de vacance, le Conseil d’Administration pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il sera procédé à leur remplacement définitif par l’Assemblée Générale la plus proche.
Le mandat de membre du Conseil d’Administration prend fin par la démission, la perte de la qualité de membre ou la révocation prononcée par l’Assemblée Générale.
Article VIII – Réunion du Conseil d’Administration
Le Conseil d’Administration se réunit sur simple décision de ses membres et sur convocation du président ou du secrétaire. Les décisions sont prises à la majorité des voix. Tout membre du Conseil qui, sans excuse, n’aura pas assisté à trois réunions consécutives sera considéré comme démissionnaire.
Article IX – Conseil de réflexion
Il est constitue de personnalités du monde scientifique, associatif, syndical ou politique. Il définit son mode de travail et se réunit à son initiative ou à celle du Conseil d’administration. Ce conseil, organisé si besoin en groupes thématiques, pourra élaborer des notes, rapports et communiqués qui destinés au Conseil d’administration pour être diffusés. Il apporte également un avis sur les activités de l’association et contribue à son orientation stratégique.
Article X – Bureau
Le Conseil d’administration élit annuellement son bureau parmi ses membres. Celui-ci comporte au minimum : le/la président-e, le/la secrétaire et le/la trésorier-e.
Article XI – Assemblée Générale Ordinaire
L’Assemblée Générale Ordinaire comprend les membres de l’association tels qu’ils sont définis par les présents statuts et par le Règlement Intérieur. Elle se réunit une fois chaque année pour examiner l’ordre du jour et procéder au remplacement des membres du Conseil d’Administration, tels qu’ils sont définis par l’article VII. Le Bureau présente le rapport moral de l’association. Le Trésorier rend compte de sa gestion et soumet le bilan financier à l’approbation de l’Assemblée qui lui donne ou non quitus de sa gestion pour l’exercice échu. Les points mentionnés par l’ordre du jour sont ensuite examinés. Les modalités de convocation des membres, de vote et d’établissement de l’ordre du jour sont prévus par le Règlement Intérieur.
Article XII – Assemblée Générale Extraordinaire
L’Assemblée Générale Extraordinaire ne peut avoir lieu que sur convocation décidée par la majorité des membres du Conseil d’Administration ou sur demande des deux-tiers des membres tels qu’ils sont définis par les présents statuts et le Règlement Intérieur. Seuls les points mentionnés par l’ordre du jour sont examinés. Les modalités de convocation des membres, de vote et d’établissement de l’ordre du jour sont prévus par le Règlement Intérieur.
Article XIII – Règlement Intérieur
Un règlement intérieur sera établi par le Conseil d’Administration et ratifié par l’Assemblée Générale. Il définit et prévoit l’administration interne de l’association, en particulier les points non-prévus par les présents statuts.
Article XIV – Représentation en justice
Le Bureau est habilité à désigner l’un de ses membres pour représenter l’association en justice.
Article XV – Dissolution
La dissolution est prononcée en Assemblée générale par les trois-quarts au moins des membres présents, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés par l’Assemblée et l’actif, s’il y a lieu, est dévolu conformément à l’article 9 de la loi du 1 juillet 1901 et au décret du 16 août 1901.
Les pesticides font peur, mais paraissent de toute façon lointains. Or ils sont partout, jusque dans la rosée du matin. Et dans la pluie des villes, bien sûr, de toutes les villes de France.Pour cette raison et quelques autres que vous découvrirez, les conséquences sanitaires de l’exposition aux pesticides sont d’ores et déjà massives. Des centaines d’études de niveau international montrent que ces produits de la chimie de synthèse agissent, même à des doses infimes, sur notre équilibre le plus intime. Le cordon ombilical des fœtus, le système endocrinien, la fabrication du sperme son atteints. Les cancers et maladies neurologiques se multiplient.
What is nanotechnology and why does it matter to civil society ? From several different vantage points, nanotechnology – a set of techniques used to manipulate matter at the scale of atoms and molecules – looms as the highest, widest and most powerful technological wave the world has ever faced. The turbulence that will accompany the nano-wave has breathtaking societal implications, especially for poor and marginalized communities.
La commission désignée par les ministres de la Santé, de l’Environnement et des Affaires sociales a rendu son rapport. Ce rapport vient conforter tous ceux, dont la Fondation Sciences Citoyennes, qui plaident pour que l’on se préoccupe enfin sérieusement de la santé environnementale en France. Lire la suite…
L’Institut Français de l’Environnement (IFEN), qui avait été créé, à la veille du Sommet de la Terre de Rio, par le gouvernement Rocard est en passe d’être repris en main par le gouvernement Raffarin. Lire la suite…