Alors que le premier médicament « ethnique » destiné aux « Afro-américains » attend une autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis, une équipe internationale de chercheurs réfute l’idée d’une différence génétique entre Noirs et Blancs qui expliquerait la plus grande fréquence de l’hypertension chez les « Afro-américains ».