1. BOUYGUES TELECOM avait estimé à 200.000 Euros la valeur de son intégrité et de son honneur qui avaient été bafoués par des propos attribués à Etienne CENDRIER, rapportés dans un modeste article du Journal du Dimanche en novembre 2003. Nous constatons que la Justice vient d’infliger à cet honneur une décote sévère.
2. En tenant hors de toute poursuite le journaliste et le journal auteurs de l’article incriminé, BOUYGUES TELECOM a montré clairement que l’accusation de diffamation n’était qu’un masque, et que la cible réelle et exclusive était un militant dont l’action dérange et que l’on souhaitait intimider. Objectif raté : Etienne CENDRIER et Robin des Toits n’ont pas manifesté l’ombre d’une crainte.
3. Etienne CENDRIER conteste l’interprétation du droit dans la décision de 27-06-2005. Naturellement, il interjettera appel aussitôt que seront produites les motivations de la décision de sa condamnation. Il saisira cette occasion qui lui sera offerte de débattre des questions de fond du dossier, à savoir la dangerosité de la téléphonie mobile et la responsabilité des opérateurs.
L’association Robin des Toits est plus active et plus déterminée que jamais. La prétendue unanimité scientifique sur l’innocuité de la technologie de la téléphonie mobile (dans le cadre des normes françaises) est en train de voler en éclats. Le porte-drapeau des thèses officielles, Mr ZMIROU, vient de démissionner de l’AFSSE dont il ne cautionne plus le fonctionnement et le discours.
Les informations scientifiques sur la toxicité de la téléphonie mobile, se diffusent de plus en plus largement dans la population, récemment renforcées par les reconnaissances publiques émanant de deux sources échappant à toute contestation.
Pour une bonne part, tout cela est l’oeuvre de Robin des Toits.
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